Laprincipale chose à faire quand un chien ne mange est en priorité prendre rendez-vous chez le vétérinaire pour le faire examiner. Si la perte d’appétit de votre chien est causée par une maladie, le vétérinaire peut changer son régime alimentaire pour répondre aux besoins nutritionnels de votre chien pendant que la maladie sous
Combiende temps peut-on tenir sans manger ? 2016-09-04 - « Un homme de 70 kg, s’il continue Ă s’hydrater, peut tenir plusieurs semaines, voire quelques mois, rĂ©pond Monique Romon, prĂ©sidente de la SociĂ©tĂ© française de nutrition (CHRU de Lille). Par exemple, en 1981, dix prisonnierÂs politiques irlandais, grĂ©vistes de la faim, ont tenu entre 45 et 66 jours. » Cette
Machienne reste souvent deux jours à juste grignoter. Par contre il ne faut pas lui laisser la gamelle pleine à disposition. Tu lui poses, si elle n'en veux pas au bout de 5 minutes, tu lui enlèves et tu lui repropose le soir. a un an, souvent, ils
Combiende temps peut-on tenir sans manger 2016-09-04 - « Un homme de 70 kg, s’il continue Ă s’hydrater, peut tenir plusieurs semaines, voire quelques mois, rĂ©pond Monique Romon, prĂ©sidente de la SociĂ©tĂ© française de nutrition (CHRU de Lille). Par exemple, en 1981, dix prisonnierÂs politiques irlandais, grĂ©vistes de la faim, ont tenu entre 45 et 66 jours. » Cette
Dansl'ensemble, un chien nourri avec des croquettes doit manger chaque jour l'équivalent d'environ 1% de son poids corporel. Ainsi, sa ration quotidienne de croquettes se situe autour de 150 g s'il pèse 10 kg, 340 g s'il pèse 30 kg, 480 g s'il pèse 50 kg et 600 g s'il pèse 70 kg.
COMBIENDE TEMPS PEUT ON TENIR SANS MANGER RECETTES Catégories Base cuisine. Temps de Préparation 15 minutes. Rendement 6. Les Quantités d'ingrédients 14. Ingrédients; 250 g farine (ordinaire T55 ou T65) 125 g beurre : 3 càs eau (froide) 1 pincée sel: 250 g farine (ordinaire T55 ou T65) 120 g beurre: 5 cl eau (froide) 1 jaune oeuf (20 g) 1 cà c sel: 200 g farine
NUvHYS. Le cancer du poumon est une maladie particulièrement difficile à soigner et qui laisse des chances de survie assez faibles. Cela est notamment dû au fait qu’en cas de cancer du poumon, les symptômes ne font leur apparition que tardivement. Ainsi, le pronostic du cancer du poumon est souvent sombre. Mais combien de temps peut-on espérer vivre avec cette grave pathologie ?©iStockIstockPronostic du cancer du poumonLe pronostic du cancer du poumon est plutôt sombre puisqu'environ 85 % des patients en meurent dans les 5 ans. Toutefois, ce chiffre n’est qu’une moyenne et il ne tient pas compte des très nombreux facteurs à prendre en considération lorsqu’on s’intéresse aux chances de survie en cas de cancer. En effet, les cancers pulmonaires diagnostiqués précocement et/ou de petite taille et n’affectant pas les ganglions lymphatiques offrent de bonnes chances de survie à 5 ans 50 %, tandis que ceux découverts à un stade avancé seront beaucoup plus meurtriers survie comprise entre 1 et 20 % en fonction du stade. Par ailleurs, les femmes ont un meilleur taux de survie que les du poumon symptômes et pronostic vitalInversement, les cancers du poumon entraînant des pathologies pulmonaires pneumonie, broncho-pneumopathie, etc. ou responsables d’une importante perte de poids sont de mauvais pronostic. Le délai de survie dépend alors de l’étendue du cancer. S’il est de stade limité la tumeur ne concerne que le thorax d’un seul côté et elle peut être traitée par radiothérapie, la survie est généralement de 16 mois à deux ans. Si le cancer est déjà métastasé et qu’il affecte d’autres organes, la survie n’est souvent que de 6 mois à un NewsletterRecevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de adresse mail est collectée par pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.
Le Yorkshire Terrier malgré une espérance de vie de 12 à 17 ans environ est un chien à la santé fragile. Il a en effet certaines prédispositions mais heureusement toutes ne sont pas graves. Il faut toutefois les connaître pour consulter rapidement votre vétérinaire dès les premiers symptômes. Au sommaire1 Les maladies cardiaques2 Le cancer3 Les maladies gastro-intestinales4 Des maladies oculaires5 Des douleurs au niveau de la hanche6 Les affections bucco-dentaires7 Les maladies dermatologiques8 Nos conseils Les maladies cardiaques Le Yorkshire Terrier est un chien qui a un cœur d’une taille supérieure à la normale. Il est prédisposé à souffrir de certaines maladies cardiaques. Parmi elles, le Yorkshire Terrier a une prédisposition à la persistance du canal artériel. Il s’agit en fait d’une malformation qui peut être soignée par un acte chirurgical si elle est diagnostiquée tôt. C’est un chien qui est également prédisposé à une maladie dégénérative de certaines valves du cœur appelée endocardiose mitrale. C’est le plus souvent un souffle cardiaque qui permet de suspecter cette maladie qui survient surtout chez les Yorkshires Terriers d’âge moyen. Le cancer C’est un chien prédisposé à développer certaines tumeurs. Heureusement, dans la majorité des cas, ces tumeurs sont bénignes si elles sont soignées à temps. La tumeur des testicules est par exemple très fréquente chez les mâles non castrés et qui sont âgés de 9 à 11 ans. Il y a peu de risques de développement du cancer dans le reste du corps du Yorkshire Terrier car c’est une tumeur ayant de faibles risques de métastase. Si vous avez un Yorkshire Terrier, il est possible que vers l’âge de 9 ans il développe une tumeur des glandes sudoripares. Il s’agit d’un cancer de la peau glandulaire. Cela reste rare mais possible car c’est un chien ayant des prédispositions à ce type de cancer. Cette tumeur est bénigne à condition de consulter rapidement son vétérinaire afin qu’il fasse un prélèvement de la lésion pour l’analyser. Les maladies gastro-intestinales Si vous avez ce type de chien, il faut savoir que ses intestins sont fragiles. Il peut par exemple souffrir de maladies inflammatoires chroniques des intestins. Si vous remarquez qu’il a un gonflement au niveau du ventre ou s’il souffre de diarrhées, n’hésitez pas à consulter votre vétérinaire. C’est également un chien qui au cours de sa première année de vie peut avoir une malformation du foie d’origine congénitale. Elle se manifeste par un retard de croissance et des vomissements. Lorsqu’il souffre d’une maladie gastro-intestinale, le Yorkshire Terrier peut avoir de nombreux troubles gastriques. Votre vétérinaire fera donc probablement des analyses sanguines et des échographies abdominales pour confirmer ou non le diagnostic. Rassurez-vous, il existe plusieurs traitements efficaces et adaptés. Des maladies oculaires Les yeux d’un Yorkshire Terrier sont très fragiles et il est donc fréquent qu’il souffre de cataracte qui peut provoquer une atrophie évolutive de la rétine. Au moindre doute, consultez votre vétérinaire car ce type de maladie peut entraîner une cécité si elle n’est pas soignée. Des douleurs au niveau de la hanche Autre affection fréquente chez ce type de chiens des douleurs osseuses de la hanche. On parle alors de nécrose aseptique de la tête fémorale. Si vous pensez que votre chien souffre de ce type de douleurs, amenez-le chez votre vétérinaire afin qu’il réalise un examen radiologique pour établir un diagnostic. Les affections bucco-dentaires Ce type d’affections représentent le premier motif de consultation vétérinaire pour ce type de chien. La seule façon de les éviter est de procéder à une brosse des dents de votre chien régulièrement. S’il ne se laisse pas faire, vous pouvez lui acheter des aliments spécifiques. En tant que propriétaire d’un Yorkshire Terrier, vous devez donc surveiller le plus souvent possible l’apparition de plaque de tartre afin d’éviter une gingivite ou pire, un déchaussement de la dent. Les maladies dermatologiques Le Yorkshire Terrier est un chien qui peut souffrir d’une anomalie du revêtement cutané appelée Alopécie des Robes Diluées. Elle se traduit par une absence complète ou partielle des poils dans une zone qui normalement en possède. C’est une maladie qui évolue rapidement. D’abord localisée, la perte des poils peut s’étendre sur l’ensemble du corps de votre chien. Vous devez donc consulter votre vétérinaire dès les premiers symptômes sinon il risque de se retrouver sans poils. Nos conseils Le Yorkshire Terrier est certes un chien fragile mais rassurez-vous, dans la majorité des cas, les maladies sont bénignes si elles sont prises à temps. Nous vous conseillons donc de surveiller votre animal et de consulter au moindre doute votre vétérinaire. Mise à jour de l’article novembre 11, 2021
Information patient TARDYFERON Mise à jour Vendredi 15 avril 2022Famille du médicament Élément minéral ferDans quel cas le médicament TARDYFERON est-il prescrit ?Ce médicament contient du fer, élément minéral essentiel au fonctionnement de l'organisme. Le fer est nécessaire à la formation de l'hémoglobine, contenue dans les globules rouges, qui assure le transport de l'oxygène dans le est utilisé pour prévenir la carence en fer chez la femme enceinte lorsque les apports alimentaires sont insuffisants ;traiter les carences en fer responsables de certaines formes d'anémies solution buvable et comprimé à 80 mg.Présentations du médicament TARDYFERONTARDYFERON 20 mg/ml Enfant et Adulte solution buvable ; flacon de 90 ml - Non remboursé - Prix libre TARDYFERON 50 mg comprimé rose foncé ; boîte de 30 - Remboursable à 65 % - Prix 1,70 €.TARDYFERON 80 mg comprimé rose ; boîte de 30 - Remboursable à 65 % - Prix 2,67 €.TARDYFERON 80 mg comprimé rose ; boîte de 90 - Remboursable à 65 % - Prix 7,05 €.Composition du médicament TARDYFERONp mlp cpp cpSulfate ferreux99,56 mg154,53 mg256,30 mgsoit Fer20 mg50 mg80 mgGlucose++Aucun excipient du médicament TARDYFERONCe médicament ne doit pas être utilisé en cas d'excès de fer dans l' apport en fer sous forme de médicament ne peut être décidé que par votre médecin. La quantité de fer contenue dans une alimentation diversifiée est généralement du médicament TARDYFERON avec d'autres substancesEn raison de la présence de fer, ce médicament peut interagir avec les médicaments injectables contenant du ailleurs, respectez un intervalle de 2 heures entre la prise de ce médicament et celle des cyclines, des hormones thyroïdiennes, des sels de calcium, des pansements digestifs ou des médicaments contenant de la lévodopa, de la méthyldopa de l'entacapone, de la pénicillamine ou du grossesse et allaitementCe médicament peut être utilisé pendant la grossesse ou l'allaitement uniquement s'il vous a été prescrit par votre d'emploi et posologie du médicament TARDYFERONCe médicament est mieux absorbé s'il est pris avant les repas. En cas de mauvaise tolérance digestive, il est possible de le prendre au cours des comprimés doivent être avalés tels quels avec un verre d'eau, sans être sucés, mâchés ou gardés dans la solution buvable doit être prélevée uniquement à l'aide de la pipette graduée fournie. La dose en mg est lue directement sur le piston de la pipette. La solution doit être diluée dans un demi-verre d' usuelle Comprimé à 50 mg Femme enceinte 1 comprimé par jour à partir du 4e mois de la à 80 mg Femme enceinte 1 comprimé par jour ou tous les 2 jours, pendant les 6 derniers mois de la et enfant de plus de 10 ans 1 ou 2 comprimés par de 6 à 10 ans 1 comprimé par buvable Femme enceinte 50 mg par jour, pendant les 6 derniers mois de la et enfant de plus de 10 ans 50 à 100 mg par de 2 à 10 ans 40 à 50 mg par jour pour les enfants pesant entre 20 et 35 kg et 30 à 40 mg par jour pour les enfants pesant entre 15 et 20 reconstitution du stock en fer de l'organisme nécessite un traitement de longue durée plusieurs mois ; respectez la durée prescrite par votre coloration noire des selles est habituelle pendant le aliments les plus riches en fer sont d'origine animale viande, poisson, volaille, consommation importante de thé, ainsi que la prise concomittante de céréales complètes ou d'aliments riches en calcium, peut diminuer l'absorption du fer par l' indésirables possibles du médicament TARDYFERONFréquents nausées, constipation, diarrhée, douleurs fréquents digestion difficile, vomissements, démangeaisons, éruption ulcération de la bouche, urticaire, réaction avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en ligne.
Vous venez d'introduire un chien dans votre famille ? Vous avez certainement des doutes, par exemple, comment le nourrir, quels vaccins il a besoin ou combien de promenades il doit faire par jour. Toutes ces réponses dépendront de la race et de l'âge de l'animal car les soins ne sont pas les mêmes pour un chien de trois ans que pour un chiot. Dans cet article de ToutComment, nous allons vous dire combien de fois par jour vous devez sortir votre chien pour que vous sachiez la moyenne recommandée et ainsi pouvoir en prendre soin comme il en a besoin. Pour savoir combien de fois par jour, vous devez sortir votre chien, il faut tout d'abord tenir compte de l'âge de l'animal un chiot aura besoin de sortir plus fréquemment car il ne sait pas encore retenir ses besoins et il a une vessie plus petite. Par conséquent, pour éduquer un chiot et lui apprendre à ne pas faire pipi dans la maison , vous devrez le sortir depuis très jeune pour qu'il comprenne que durant ces sorties, il doit faire ses en général les sorties des chiens sont soumises à leur âge et, par conséquent, elles doivent être réparties comme suit De 0 à 14 semaines il doit sortir 12 fois par jour en laissant maximum deux heures entre chaque sortie pour éviter qu'il ne fasse ses besoins dans la maison et qu'il apprenne à les faire dans la rue. De plus, à cet âge, il apprend à faire les digestions, son heure pour éliminer sera donc beaucoup moins stable que lorsqu'il aura atteint l'âge 15 à 22 semaines vous pouvez réduire les sorties à 8 fois par jour. C'est le moment de l'apprentissage durant lequel vous pouvez commencer à l'éduquer pour qu'il comprenne où il doit faire ses besoins et d'autres concepts tels que ne pas réclamer de la nourriture, ne pas monter sur le canapé, etc. Si vous voulez plus d'informations, nous vous invitons à lire l'article de ToutCOMMENT sur comment éduquer un chiot où nous indiquons les bases que vous pourrez lui apprendre 22 à 32 semaines continuez à réduire la fréquence des sorties et, cette fois, faites environ 6 sorties par jour. À cet âge, l'animal doit être habitué à faire ses besoins dans la rue même s'il peut encore avoir du mal à retenir son pipi, par conséquent, il peut présenter des moments d'urgence devant la porte avant de partir de 32 semaines le chien est considéré adulte et, par conséquent, il suffit de le sortir 3 à 4 fois par jour, en fonction de sa personnalité et de son énergie. À ce stade, l'animal peut se retenir à la maison et, pour s'adapter à sa nature, il est recommandé de répartir les sorties à différents moments significatifs de la journée tels que tôt le matin, après avoir mangé et le soir, l'après-midi peut être un bon moment pour jouer et interagir avec les autres données sont approximatives parce que, comme nous vous l'avons dit, tout dépend des besoins de votre chien, de sa race et de son âge exact. De plus, les chiens de petite race ont également tendance à avoir besoin de plus de sorties au quotidien car ils ont tendance à avoir plus d'énergie à brûler et à consommer lors des sorties. Un autre des problèmes qui peuvent apparaître quand vous promenez votre chien est de savoir la durée idéale de chaque promenade. Sachez que pour l'animal ces moments permettent d'interagir avec les autres chiens, de quitter la maison, de renifler, de jouer, courir, etc., il est donc recommandé de lui donner le temps à ce qu'il s'amuse, en plus de faire ses besoins. Il ne faut pas voir les promenades dans le seul but que l'animal fasse ses besoins, voyez-les comme elles sont vraiment le moment de récréation de votre étant dit, vous devez savoir qu'en général, vous devrez sortir votre chien une demi-heure chaque fois et si vous ne disposez pas d'autant de temps, vous pouvez le sortir peu le matin, mais dans l'après-midi ou le soir, vous pouvez faire une longue promenade d'une heure pour que l'animal courre, joue et se fatigue. De plus, en fonction de l'âge de votre chien, il devra brûler plus ou moins d'énergie les chiots sont plus nerveux que les adultes, vous devrez donc également en tenir compte pour déterminer la durée des pouvez voir si vous sortez votre chien suffisamment longtemps en observant son comportement à la maison, ainsi si vous voyez qu'il n'est pas tranquille ou qu'il est toujours à la recherche de quelque chose pour s'amuser à la maison, ce peut être un indicateur qui révèle qu'il faut plus l'occuper et donc sortir plus souvent ou faire des promenades plus fructueuses. Emmenez-le au parc, à la plage ou mettez-le en relation avec d'autres chiens, il pourra ainsi courir et jouer sans avoir besoin de votre attention promenade de base devra permettre à votre chien de répondre à ses fonctions basiques relatives à sa nature, telles que Renifler il s'agit d'un de ses plus grands sens, il doit donc l'utiliser et le développer ; sÊtre en contact avec d'autres chiens la sociabilité est un élément fondamental dans l'éducation de votre chien, vous devrez donc permettre que ces promenades durent assez longtemps pour que l'animal rencontre d'autres chiens et si possible, qu'ils jouent de l'exercice vous devez également permettre à votre chien qu'il se fatigue, coure, joue, en résumé, qu'il fasse de l'exercice. En plus d'être un aspect amusant pour l'animal, il s'agit également d'un élément nécessaire à sa santé, car il va brûler les calories prises avec la nourriture, exercer ses muscles et renforcer ses os. Si vous avez un chien craintif ou qui ne ressent pas l'intérêt particulier d'aller dans la rue, sur ToutComment, nous vous suggérons, au lieu de 3 ou 4 fois, d'augmenter ses sorties, mais que celles-ci soient de courte durée environ 10 ou 15 minutes pour qu'il est le temps de tout. Vous ne devez pas forcer l'animal à passer un mauvais moment s'il préfère être à la maison, mais vous devez lui apprendre à sortir pour faire de l'exercice, faire ses besoins à l'extérieur et être en contact avec d'autres animaux. Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables à Combien de fois par jour dois-je sortir mon chien, nous vous recommandons de consulter la catégorie Animaux de compagnie.
Bonjour. Je ne suis pas une professionnelle mais une proche d’une personne en institution J’ai hélas vu un certain nombre de personnes ce que j’appellerai " agoniser" pendant une dizaine de jours voire plus. En dehors de la question éthique, je me demande d’un point de vue strictement médical quels sont les effets positifs et négatifs de l’arrêt en fin de vie de l’alimentation artificielle et de l’hydratation. Vous avez dans un de vos articles parlé du râle du mourant. Cela donne l’impression que la personne souffre. Merci, si vous pouviez m’éclairer un peu sur ces questions, j’en conviens, fort délicates et sans doute très complexes. Ce message reçu sur le forum pose magnifiquement l’un des problèmes les plus difficiles de la prise en charge des malades en fin de vie. Au point que j’ai beaucoup reculé le moment d’y répondre et qu’il me semble utile d’y consacrer un article entier. Du point de vue purement scientifique, la question est, si on ose dire, assez simple ; ou du moins elle se laisse réduire à des éléments qui peuvent être travaillés séparément. Parlons tout d’abord de l’alimentation ; nous le ferons d’ailleurs assez brièvement car plusieurs articles de ce site ont déjà abordé ce thème. Remarquons à ce sujet que ce site, précisément, est consacré tout à la fois aux soins palliatifs et à la gériatrie, ce qui peut poser question au lecteur dans quelle mesure peut-on ainsi passer de l’un à l’autre, utiliser pour l’une des problématiques les données relatives à l’autre ? Disons simplement que, sans pour autant méconnaître le risque d’une position trop simpliste, les points communs sont aussi nombreux que les questions communes. L’alimentation en fin de vie Il est incontestable que la dénutrition est dommageable en fin de vie, car elle aggrave la dégradation de l’état général. Cela entraîne notamment deux conséquences très importantes Le malade est exposé à des complications comme les escarres et les infections qui sont d’importantes sources de douleur et de souffrance. Tout simplement la fatigue s’en trouve aggravée ; or la fatigue entraîne une perte d’autonomie qui, même en toute fin de vie, est cause d’une grande souffrance les équipes de soins palliatifs sont toujours très attentives à la prise en charge de la fatigue. Il serait donc très fautif de prendre à la légère la question de la dénutrition. Mais une fois qu’on a dit cela, que faire ? Et l’on voit très rapidement que les moyens disponibles pour lutter contre la dénutrition sont très limités Il est hors de question d’utiliser des techniques d’alimentation artificielle qui seraient elles-mêmes sources de souffrance c’est le cas de la sonde gastrique encore faut-il que ce soit le malade qui en décide, du moins quand il le peut. On ne peut guère utilise des techniques qui limiteraient son autonomie alors que le but affiché est de la préserver. Les méthodes d’alimentation artificielle sont elles-mêmes source de dangers importants, surtout sur des organismes très fatigués. Dans le mécanisme de la dénutrition il y a certes la diminution des apports, mais il y a surtout un grand nombre de raisons pour que l’organisme surconsomme des calories ; et contre cette surconsommation il y a bien peu d’armes. [1] Mais surtout, et là aussi pour de multiples raisons dont le détail importe peu ici, le malade en fin de vie le plus souvent n’a pas faim Et cela nous introduit au cœur de notre problème. Car on entend souvent la famille dire Mais si on ne le nourrit pas il va mourir de faim » ; or cela demande à être traduit. Qu’entend-on par là ? Mourir de faim est une souffrance quand on a faim. Mais nous venons de voir que ces malades n’ont pas faim. Bien souvent ils disent même que la principale source d’inconfort pour eux est l’inquiétude de leurs proches, et les efforts qu’il faut consentir pour leur faire plaisir. Il faut donc maintenir que le malade ne va pas mourir de faim. Il va mourir de dénutrition, certes, et c’est grave, et c’est à considérer. Mais alors tout le problème se pose en termes de rapport bénéfice/risque Peut-on raisonnablement espérer qu’une stratégie de lutte contre la dénutrition sera efficace ? Si oui, quels en seront les inconforts, et de quel côté la balance penche-t-elle ? les professionnels savent, plus ou moins bien, conduire ce genre de calculs. L’hydratation en fin de vie La question se pose dans les mêmes termes Il est maintenant bien établi qu’en fin de vie une légère déshydratation est plutôt une source de confort. La sensation de soif dépend largement de l’état de la bouche, et une bonne humidification de la muqueuse buccale suffit à l’apaiser. Surtout, dans la quasi-totalité des cas le malade en fin de vie n’a tout simplement pas soif. Dans ces conditions la terreur de voir le malade mourir de soif n’a pas plus de sens que celle de le voir mourir de faim, et la lutte contre la déshydratation ne saurait se mener que dans d’étroites limites. La vraie question Il serait donc facile de répondre à notre interlocutrice en énonçant ainsi la position qui fait consensus, aussi bien dans le mode de la gériatrie que dans celui des soins palliatifs. Mais quand on aurait fait cela, qu’aurait-on obtenu ? Aurait-on répondu à sa vraie question ? Il est permis d’en douter. Reprenons l’une de ses phrases Vous avez dans un de vos articles parlé du râle du mourant. Cela donne l’impression que la personne souffre. ». Quiconque a assisté à un râle agonique sait pour le reste de ses jours de quoi il s’agit c’est un bruit laryngé, parfois très intense, qui donne l’impression que le malade lutte pour respirer, qu’il s’étouffe, qu’il se noie dans ses sécrétions ; et c’est un bruit insupportable. Or ce que nous savons sur le râle agonique, c’est qu’il suffit de très peu de sécrétions pour le provoquer ; le malade n’est pas du tout en train de se noyer ; nous savons aussi que la condition pour que le râle se produise est que le réflexe de toux ait disparu, ce qui est la marque d’un coma profond, dans lequel il est exclu que le malade ressente quelque chose. Il s’ensuit que le malade en râle agonique n’a besoin de rien, et notamment pas qu’on lutte contre le râle. Le problème est que de tels propos ne sont tout simplement pas entendables par l’entourage. L’entourage est en proie à sa propre souffrance, il est fragilisé par ce qu’il est en train de vivre. Par ailleurs sa détresse, mais aussi son impuissance, le poussent à vouloir que tout soit fait pour éviter au mourant le plus petit risque d’inconfort. Et c’est là que les choses deviennent impossibles à gérer. Car le professionnel a parfaitement raison de dire que le malade ne souffre pas et n’a besoin de rien ; mais son propos est tenu dans un registre scientifique, et ses interlocuteurs ne sont tout simplement pas en état de l’entendre. C’est d’ailleurs une chose somme toute assez commune contrairement à ce qu’on pense, la primauté du discours scientifique ne va pas de soi ; cette primauté repose sur une croyance qui, en soi, n’a pas plus de valeur que la croyance dans la magie ou la religion tout a plus doit-on constater que les faits lui donnent souvent raison, et que les ordinateurs sont généralement mieux construits par les ingénieurs que par les sorciers. Et lorsque les choses en sont arrivées à la mort, qui est tout de même ce que le monde connaît de plus irrationnel, il ne faut pas s’étonner que la pertinence du discours scientifique soit plus volontiers contestée. C’est pourquoi dans ces moments de grande détresse la parole scientifique du médecin est tout simplement inadaptée et inentendable. Le pire est qu’elle n’en est pas moins indispensable car la famille ne va pas manquer de demander qu’on agisse pour soulager le malade de cette souffrance imaginaire ; or, outre qu’il est en soi éthiquement inacceptable d’administrer à un malade qui n’en a pas besoin un traitement qui vise en réalité à soulager la souffrance de tiers, cette stratégie serait encore plus inacceptable si le soin préconisé aspiration pharyngée par exemple était, en plus, douloureux ou pénible. Ici se joue incontestablement ce qui est le plus difficile en matière de prise en charge de la fin de vie. Et ce plus difficile est pratiquement insondable. Car, on l’a déjà expliqué ici, il se passe deux choses dans la mort. Il y a un malade qui perd la vie, mais il y a un entourage qui perd un malade. Et ces deux choses n’ont rien en commun, si ce n’est qu’elles se produisent simultanément c’est pourquoi la mort de l’autre ne m’apprendra jamais rien sur la mort de moi. Mais du coup se pose une question de qui doit-on s’occuper dans le mourir ? On doit s’occuper du malade, bien entendu. Mais on doit aussi s’occuper de l’entourage, et ce d’autant plus, si on peut dire, que le malade, lui, n’aura pas de deuil à affronter, il n’aura pas à survivre à l’événement. On doit enfin considérer que ce qui se passe advient à une entité nommée famille, qui a son fonctionnement propre, et qui vit comme un organisme à part entière. Tout ceci, les psychologues le connaissent bien. Mais outre que le point de vue psychologique est loin de suffire, les choses se compliquent énormément du fait que les intérêts et les points de vue des principaux protagonistes ne sont que très partiellement concordants on le voit tous les jours quand on considère la question de l’euthanasie. Ceci se manifeste de manière éclatante dans l’approche du phénomène de la souffrance. Car je ne connais de la souffrance de l’autre que ce qu’il m’en donne à voir. L’évaluation de la souffrance est par nature subjective. Que je vois celui que j’aime et que je juge qu’il souffre, la souffrance que je lui suppose vient résonner avec la mienne, ce qui aboutit à me faire perdre tout repère. Il est difficile dans ces conditions de faire la part des choses, et on peut même se demander si un tel projet aurait un sens. Les soignants eux-mêmes s’y laissent volontiers prendre, et on ne compte plus les professionnels qui s’affolent de manifestations dont le malade, en coma largement dépassé, n’a que faire. Mais que dire ? Face à cette vision complètement subjective, la tentation est grande mais aussi il est nécessaire de réfléchir, de raisonner, et d’analyser la situation avec les ressources de la science. Le problème est que cela revient vite à opposer discours scientifique et ressenti affectif, et à se trouver emprisonné, parole contre parole, les deux parties prétendant préserver les intérêts du malade ». Le moins grave est que le médecin, dont la crédibilité ne peut manquer de se trouver contestée, se voie suspecter de sécheresse de cœur. Plus grave est le risque de survenue de véritables conflits, que les professionnels on bien souvent tendance à éluder en allant dans le sens du ressenti de l’entourage ; il faut certes aller dans le sens de l’entourage, mais pas jusqu’au point où la loyauté due au malade risque de n’y pas trouver son compte. Finalement on en vient même à soupçonner que les rôles pourraient se trouver fort bien distribués ainsi. Dans cette cérémonie que reste la mort, peut-être faut-il que les professionnels tiennent le discours objectif, laissant aux proches le discours subjectif, et assumant par la même un rôle, au moins partiel, de repoussoir. Beaucoup de professionnels des soins palliatifs tirent fierté et réconfort des excellentes relations qu’ils entretiennent avec les familles. C’est probablement en effet un critère de qualité de la prise en charge ; il se peut toutefois que le critère ne soit pas aussi absolu qu’on le pense.
combien de temps peut tenir un chien sans manger